samedi 15 décembre 2007

Des rêves m'ont aidé

DES REVES M’ONT AIDÉ

Des rêves, curieusement, m’ont aidé à assembler tous ces éléments les uns avec les autres en y ajoutant des détails qui se sont révélés d’une importance capitale dans la suite de mes recherches.
J'ai révé qu'autrefois, étant enfant, je jouais sur des berges, attendant l'arrivée d'embarcations des collines voisines. C'était à Sion. Tout autour, il n'y avait que de l'eau à perte de vue. La Colline était entourée d'une immense digue. L'unique moyen de locomotion était la navigation. Cet état de fait était dû à une terrifiante catastrophe causée par des pluies incessante pendant plusieurs mois qui avaient gonflées en des proportions inimaginables toutes les rivières et ruisseaux du pays et qui avait noyée toute la vallée y compris celle de Tomblaine. Seules les sept buttes sacrées des Leukes et les plateaux étaient restés habitables car suffisamment élevées. Au loin, un appel impérieux lumineux parcourait le ciel de colline en colline. Des Tintinnabules sonnaient à tout va pour ordonner aux Leukes de se préparer. Des barbares ennemis arrivaient d’un lointain pays du Nord. Puis le rêve s'est arrêté.

Je me souviens d’un autre rêve où j’avais été l'instigateur de ces travaux titanesques qui dureraient plusieurs siècles du détournement du lit de la Moselle. J'y ai même participé en dirigeant les travaux du côté de Maron. Je me vois très bien entrain de couper des arbres et ordonner aux autres d'en faire autant afin d'élever une énorme palissade d'un barrage gigantesque à Pont-Saint-Vincent, pour assécher la Moselle côté Nancy - Pompey et qui serait détruit ultérieurement. Je me souviens aussi de cette incursion des barbares qui tentèrent de conquérirent notre pays , des massacres qu'ils perpétrèrent sur nos femmes et nos enfants, de leurs pillages. Mais grâce à notre courage, à la connaissance du terrain et à d'habiles tactiques de guerre, nous les avons repoussés. Puis les souvenir passe très vite sur les lentes progressions reprises de percement du plateau de Haye, des énormes blocs calcaires qui servirent à élever des collines un peu partout comme celle du MonTeu (le pain de sucre), la Hotté du Diable (la côte barine), le Mont Saint-Michel, de la butte de Mousson. Je me souviens enfin de cette fantastique première descente du nouveau cours de la Moselle pour admirer notre oeuvre et ces nouveaux paysages. Puis le rêve s'est arrêté.

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